Dans le contexte actuel où tout va rapidement, un dilemme s’impose pour les entreprises : vaut-il mieux dépenser en prévention, sans savoir si quelque chose va casser, ou bien attendre que quelque chose casse avant de dépenser?
Bon nombre d’organisations hésitent à dépenser en fonction de l’éventualité où quelque chose pourrait briser. Après tout, « if it’s not broken, don’t fix it », comme disent les Américains! Une telle mentalité démontre bien à quel point il reste du chemin à faire en matière de prévention, de planification et de gestion de projet.
Bien souvent, les hauts gestionnaires ne disposent que d’une formation de base en gestion de projet. On retrouve d’ailleurs peu de cours réellement spécialisés en la matière dans un MBA!
Même chose pour les membres des conseils d’administration, qui possèdent peu ou pas d’expérience en gestion de projet. Alors, comment doit-on voir l’essor de la gestion de projet?
« Je rêve de pouvoir former, un jour, les conseils d’administration en gestion de projet. Les membres des CA approuvent des portefeuilles qui valent parfois 50, voire 100 millions de dollars, et n’ont souvent aucun background en gestion de projet! Ils ne savent pas quelles questions poser ni comment lire des tableaux de bord. Je pense qu’il y a une sensibilisation à faire auprès des CA pour améliorer cette gouvernance de projets », raconte Benoit Lalonde, associé principal de GPBL Penser Projet.
Bref, il reste encore beaucoup de progrès à faire pour bien implanter la gestion de projet au sein des organisations. Mais, de plus en plus, elles sont sensibilisées à l’importance de bien planifier. Pour ce faire, une formation poussée en gestion de projet s’avère des plus pertinentes.
Vous voulez en savoir plus? Nous avons justement demandé à Benoit Lalonde comment doit-on voir l’essor de la gestion de projet. Découvrez sa réponse dans la dernière vidéo de notre web-série.
Convaincu de la nécessité d’améliorer la gestion de projet de votre entreprise? N’hésitez-pas à prendre contact avec nous!